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Courrier international, via Courrier Expat, souligne que le mythe de la fuite massive des riches face à l’impôt est largement exagéré. Malgré des incitations fiscales comme la “gold card” américaine, les milliardaires restent profondément attachés à leur pays d’origine, leur capital social et leurs réseaux locaux pesant davantage que les avantages fiscaux. Des études montrent qu’ils changent peu de résidence, privilégiant souvent l’influence locale à l’exil fiscal. Ainsi, même une hausse des impôts n’entraîne pas d’hémorragie notable chez les très riches.
FOCUS
- Entre 2010 et 2015, seuls 22 milliardaires américains ont changé d’État de résidence, tandis que 7 % décédaient.
- En Norvège, malgré le départ de 43 grands contribuables après une hausse d’impôt, les recettes fiscales ont augmenté significativement.
- “Le capital est peut-être mobile, mais les personnes ne le sont pas autant,” conclut Die Zeit.
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Cette synthèse a été réalisée à l’aide de gpt-4o-mini
