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« C’est Nicolas qui paie »… et qui oublie ce dont il a profité | france.attac.org

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L’Humanité explique que le slogan « C’est Nicolas qui paie », utilisé par des mouvements d’extrême droite pour dénoncer la fiscalité, est une manipulation déformant la réalité. En effet, Nicolas bénéficie tout au long de sa vie des services publics financés par les impôts, comme l’éducation, la santé ou les prestations familiales. Ces services rendent la vie de Nicolas et de sa famille plus supportable, malgré le poids fiscal qu’il ressent. L’Humanité insiste sur l’importance de reconnaître que la solidarité collective et la redistribution sont vitales, et que la critique « anti-impôts » est instrumentalisée pour diviser la société.

FOCUS

  • Nicolas a bénéficié d’un accouchement sans frais grâce à la Sécurité sociale, d’une éducation publique largement subventionnée et d’aides pour la garde d’enfants.
  • Les frais de santé sont plus accessibles grâce à la Sécurité sociale qui a des frais de gestion bien inférieurs aux assurances privées.
  • Le slogan « C’est Nicolas qui paie » sert à discréditer la solidarité et à promouvoir un projet politique privilégiant la privatisation et l’inégalité.

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Cette synthèse a été réalisée à l’aide de gpt-4o-mini