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Désinformation: une sociologie des vulnérabilités | telos-eu.com

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L’article de Richard Robert soulève les vulnérabilités sociologiques face à la désinformation, en s’appuyant notamment sur les travaux de chercheurs comme Gérald Bronner et Ceren Budak. Il montre que la crédulité n’est pas seulement liée à un manque d’information, mais aussi à des biais cognitifs, à la polarisation politique, et à des niveaux variables de confiance sociale, particulièrement chez les extrémistes. Par ailleurs, les personnes très compétentes politiquement engagées peuvent être paradoxalement plus susceptibles de rationaliser des idées biaisées, tandis que la curiosité scientifique semble être un réel rempart contre la désinformation. Enfin, Richard Robert souligne l’importance d’un engagement institutionnel plus fort pour contrer ces effets, notamment sur les réseaux sociaux.

FOCUS

  • La désinformation est davantage partagée par des personnes aux extrêmes politiques, notamment l’extrême-droite, qui souffrent d’un fort isolement social et d’un manque de confiance en autrui.
  • L’effet Dunning-Kruger montre que les moins compétents surestiment souvent leurs capacités à distinguer le vrai du faux, ce qui augmente leur vulnérabilité.
  • « Plus une personne est intelligente, plus la politique peut la rendre stupide » : l’intelligence combinée à un fort ancrage partisan renforce parfois la rationalisation des biais idéologiques.

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Cette synthèse a été réalisée à l’aide de gpt-4o-mini