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« Se réapproprier le système énergétique en faisant communautés »

Publié dans basta.media

RÉSUMÉ

Attention : synthèse ci-dessous réalisée en utilisant gpt-4o-mini

L’Assemblée nationale a récemment adopté un moratoire sur les nouvelles installations d’énergies renouvelables et voté pour la réouverture de la centrale de Fessenheim, adopté principalement par la droite et l’extrême droite. En réaction, des collectifs citoyens militent pour une transition énergétique démocratique en s’appuyant sur les communautés énergétiques, un concept introduit par des directives européennes visant à impliquer les citoyens dans la production et la gestion énergétique avec des finalités sociales et environnementales. L’exemple d’Énergie de Nantes illustre cette démarche innovante avec un fournisseur associatif d’électricité non lucratif qui place la tarification solidaire au cœur de ses pratiques. Malgré la centralisation énergétique française, ces initiatives cherchent à promouvoir une gouvernance collective et démocratique de l’énergie, souvent en lien avec des mouvements sociaux.

FOCUS

  • Moratoire adopté contre les installations éoliennes et photovoltaïques le 19 juin 2024.
  • Trois principes clés des communautés énergétiques : participation volontaire, contrôle citoyen, non-lucrativité.
  • Énergie de Nantes, seul fournisseur électrique associatif à but non lucratif en France.
  • 5% du territoire français est approvisionné par des régies électriques municipales, comme à Prats-de-Mollo.

EXTRAITS

    “un contre-projet développé par des membres de Stop Mines dans l’Allier, qui propose de favoriser la rénovation et la création de petites lignes ferroviaires de proximité plutôt que l’installation d’une mine de lithium dédié à la fabrication de batteries de voitures électriques”

    “Dans le contexte d’un secteur énergétique qui est de plus en plus financiarisé, le fait de poser la non-lucrativité comme un principe commun aux communautés énergétiques, c’est une brèche intéressante”

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